.::.Liberta.::.

Nouveau né Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 21/04/2009

Wird Feeling galopait depuis 10bonne minutes dans la foret lorsqu'il apercu a l'oree une etendue verte paraissant immense de la ou il se trouvait.Il decida de partir vers cette plaine.Il deboucha au grand soleil, le poitrail et les flancs blanc de sueurs.Son licol toujours autour de sa jolie tete, la longe pendant vers le sol.Il ronflaa et gratta.Le sol etait humide et l'herbe y paraissait si verte et si tendre...il repris au petit trot et s'enfonca dans ces hautes herbes peuplee de petits insectes et de jolie fleurs.Il panacha sa queue et dilata ses naseaux..la liberte..c'etait ca.le vent dans les crins, pas de guide et de truc froid et mort dans la bouche.aller ou l'on veut quand cela nous chante.etre Libre.Il se cabra et lanca un puissant henissement..Puis trouvant cela inutile de se depenser plus alors qu'il etait deja fatigue, il grata febrilement le sol a la recherche du coin propice pour se roule..il plia ses membre et se laissa rouler sur l'herbe fraiche.il effectua quelques roulades puis se releva et se secoua...une nuee de poussiere s'envola alors dans les airs...Il leva de nouveau sa tete,sa longe valsa de nouveau, et huma lair frais de cette prairie...Il emis un petit cris strident et eu une envie de faire n'importe quoi et partir au galop en tous sens de..s'echapper.Mais ce n'etait plus la peine.Il etait libre.

Blanche comme la neige tombant du ciel un matin d'hiver,
Marron comme l'écorce de cet arbre qui a vu tant de chose en tant de temps...

Une jument immobile se tenait là entouré de centaines de papillons qu'elle regardait avec cette petite lueur si mignonne qui rendant son regard si pétillant face à ces papillons. La jument pie marchait lentement sans pouvoir ôter son regard du spectacle des couleurs que lui offraient les ailes scintillantes de ces papillons. Les couleurs des papillons se mêlaient aux pétales des fleurs de la prairie. à chaque pas de la jument, un papillon prenait son envol et venait rejoindre les autres qui tournoyait autour d'elle.
Rien n'était plus beau que celà...

La jument était si pris par le rêve éveillé qu'elle vivait qu'elle n'entendit pas le son du martèlement de sabots sur le sol synonyme d'un galop qui venait de s'arrêter derrière elle.

Nouveau né Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 21/04/2009

Effectivement alors qu'il galoper perdue dans le rythme regulier de son souffle et des battements de son coeur, si leger en ce moment meme, il n'avait pas vu cette jolie jument entouree d'une nuee de papillon multicolore qui marchait tranquilement.Il stoppa alors sa course et effectua un ecart pour ne pas la taper de plein fouet.Il glissa et se retablia gilement sur ses quatre membres.Il hennit comme pour la prevenir d'ouvrir un peu ses yeux lorsqu'elle marchait seule ainsi.

Il porta alors son attention sur la jument.Celle ci etait de taille moyenne, elle arborait une couleur pie tout a fait charmante et propre,contrairement lui qui etait plen de poussiere et de sueur.Il remarqua que les trait de sa fine tete etait envoutant au possible.On aurai cru que cette jument avait etait faite par Dieu lui meme.D'une beaute troublante Wird retenait surtout ce regard si..malicieu et petillant.

Il se redressa alors sur ses anterieurs et se cabra juste pour evacuer cette gene ou ..ce trouble qu'il ressentait a l'interieur.Il se reposa avec delicatesse.Il en avait quasiment oublier ce licol toujours la et cette longe pendant dans le vide..

Stalia se retourna au son du hennissement. Elle sursauta presque en voyant cet étalon à la robe noir se dresser devant elle. La jument abandonna les papillons pour poser son regard sur cet étalon qui avait osé la déranger ainsi. Il avait henni comme si c'était de sa faute à elle.
La jument pie continuait de regarder l'étalon toujours avec cette lueur pétillante dans le regard qui était soudainement devenu moins douce. Elle n'était pas fâchée mais avait prise une attitude de défi face à ce stall'.

Il portait un licol. D'où pouvait-il venir ainsi ?? Sûrement du monde des humains, il n'y avait pas de doute là-dessus. Il n'existait plus d'humain sur ces terres.
La jument regarda l'étalon se poser doucement sur le sol. Elle plongea son regard dans le sien toujours avec cette attitude défiante. Son regard à lui était différent presque gêné...